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 ❝ i'm fucking crazy but i am free ҩ dorothy. ❞

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L. Dorothy Rivendell
L. Dorothy Rivendell
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❝ i'm fucking crazy but i am free ҩ dorothy. ❞ EmptyDim 16 Mar - 17:09

Laureline Dorothy Rivdendell
Identity Card
φ surnom : Pour avoir un surnom, il faudrait déjà qu'on la nomme. La petite Rivendell n'est pas le genre de demoiselle que l'on nomme, non. On la regarde s'enfoncer dans les abysses du monde, on la regarde se débattre contre le vide, mais jamais, ô grand jamais on tente une approche. Le peu qui essaie, qui cherche derrière la folie l'appellent Thy, parfois, Laure, d'autre. Ce n'est pas grand chose, mais pour elle, c'est amplement suffisant.
φ âge : Seize perles nacrées qui se sont consumées, les unes après les autres, lui laissant un étrange goût amer, trop prononcé pour qu'elle arrive à l'accepter. Les remords s'ajoutent aux années, la douleur s'enchaîne aux dernières. Seize hivers froids, à essayer de survivre, seize étés à essayer de les faire survivre.
φ métier : Le labeur incessant du district douze ne l'a pas encore atteint. L'engrenage infernal n'a pas eu raison d'elle, pas encore. Elle tente d'apprendre, pour s'en sortir. Elle essaie, au moins. Écolière, mais peut-être pas assez fière de ne rien faire.
φ district : Le district noir, brumeux, sombre. Le district de la douleur, siège de la Faucheuse, le district du charbon. Le plus pauvre, ou se cachent beaucoup trop d'âmes brisées.
φ sexualité : Les hommes, les femmes, quelle importance ? Ils ne comptent pas à ses yeux. Ces choses-là ne comptent pas, ou plus pour elle.
φ situation amoureuse : libre comme l'air. Mais l'air n'est-il pas inaccessible aussi ?
φ situation familiale : Thy a une grande-soeur qui l'a brisé, qui a piétiné ses derniers espoirs. Des parents vivants, divorcés. Une mère seule, prête à tout pour survivre. Un père riche, remarié à une belle-mère tyrannique. Deux demi-soeurs qui n'ont jamais demandé cette vie.
φ situation financière : En hiver, elle est pauvre, elle n'a plus de sous et souffre le martyr, tentant de survivre avec sa figure maternelle, qui refuse de demander de l'aide, trop fière. En été, elle est riche, elle doit supporter sa belle-mère et l'argent semble alors un faible paiement pour ce qu'elle doit subir. Elle encaisse les coups à la place de ses demi-soeurs, et ne bronche pas.  
Caractère
rêveuse -renfermée - lâche - maladroite - faible physiquement -fragile - folle - amicale - serviable - intelligente - perspicace - optimiste - perdue - douce - sentimentale - froide d'apparence - méchante quand elle le veut - peu éloquente -  docile envers le Capitole - rebelle avec le reste du monde - curieuse - loufoque - reçoit les coups sans broncher - n'aspire pas à la vengeance - a accepté son sort - timide -renfermée - incapable de rester impassible.

Particularité
Laureline Dotohy Rivendell n'a jamais été très sûre d'elle. Déjà enfant, elle n'arrivait pas à parler, bien trop timide pour le faire. Quand ses parents se séparèrent, Laure devint un mur, prise d'un mutisme sans fin qui inquiéta ses parents. A ses seize ans, elle réapprit à parler avec un peu plus de facilité, mais pas à n'importe qui. Or, son tic d'antan ne s'est pas échappé miraculeusement, et sa timidité ne la quittera sans doute jamais. Le pire sans doute, c'est que Dorothy sait parler. Au fond d'elle, elle sait très bien que ce n'est qu'une excuse pour se taire. Ainsi, c'est quand elle est terriblement en colère que les mots sortent d'eux-même, sans bégaiement stupide. Peut-être arrivera-t-elle a se soigner ... Un jour...
Evaluation Psychologique
On va voir si t'es timbré
Quelle est la première chose à laquelle tu penses en te réveillant le matin?
Manger Au boulot ! Ma coiffure!

Combien de temps passes-tu dans la salle de bain?
10-20min 20-40min Quelle salle de bains?

Qui est arrivé le premier?
L'oeuf La poule Mon poing dans ta figure

Tu crois en...
Dieu Le Capitole Mère nature

Tu te sens plutôt...
Licorne Dragon Ourson

Au fond, tu es très...
:shy:  :book:  :creepy:  :heartbreak:  :fire:   :héhé:


Analyse Joueur
Qui se cache là-dessous?
Mon petit nom c'est Eve, mais tu me trouveras surtout sous le pseudo .raiponce . J'ai treize ans, ça fait donc deux années que j'ai atterri dans le monde du RP. Concernant Hunger Games, j'ai (lu les livres et/ou vu les films). J'ai découvert le forum grâce à ma petite tête et Leou. et je l'ai trouvé vraiment génial.  :cool:  Arrow . Pour mon personnage, j'ai choisi Elle Fanning comme avatar. Et vu que je suis un bon petit membre, j'ai même trouvé le code du règlement: OKY PAR DOROTHY. Pour finir, j'aimerais dire longue vie à JB.  :polochon:  .

Souhaites-tu être parrainé ?  non
Acceptes-tu d'être potentiellement moissonné et, peut-être, participer aux Hunger Games? non

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L. Dorothy Rivendell
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❝ i'm fucking crazy but i am free ҩ dorothy. ❞ EmptyDim 16 Mar - 17:09

Histoire
Un fossé me sépare désormais des autres. Ils ne savent pas, ils ne comprennent pas.
Dorothy s'avançait dans la grande rue, sans vraiment y mettre le coeur à l'ouvrage. Son palpitant était ailleurs, et elle détestait cette seule idée. Le savoir entre les mains d'un tel personnage était à peine compréhensible pour elle. Elle avait passé tant de temps à détester son père face à l'emprise qu'avait sa belle-mère sur lui, et voilà que ce garçon la contrôlait complètement. Un geste de la main l'aurait convaincu de sauter du haut des montagnes, elle en était sûre. Le pire était peut-être bien cela : savoir ce que l'on risque sans pouvoir stopper cela. Savoir pourquoi l'on souffre, et continuer, encore et encore. Laureline et Amiel n'étaient pas bien vieux, mais il y avait une attraction entre eux, un petit plus qui dissuadait cette dernière de tenter de le tuer. Laureline n'était pas particulièrement violente, au grand damne de certains, mais si le tuer pourrait faire stopper cette lame avant qu'elle ne déchire son cœur en deux, alors, elle n'hésiterait pas. Les idées un peu plus claire, elle dériva et changea de rue. Elle se trouvait dans un quartier qu'elle ne fréquentait que durant le chaud mois de juillet, aux côtés du tyran qu'était sa belle-mère. L'Or Noir n'était pas très peuplé à cette heure-ci. Les gens étaient chez eux, emmitouflés dans quelques couvertures de fortunes pour certains, ou au près d'un grand feu pour d'autres. Dorothy ne s'avait plus trop pourquoi elle venait ici. Son regard dériva sur les grandes vitres qu'il y avait devant chaque boutiques. Ainsi, elle voyait étrangement bien toutes la vie qui affluait dans les quelques boutiques ouvertes. L'une d'elle attira son attention. C'était la grande boutique du paternel d'Amiel. Un instant, elle resta fixement bloquée devant, comme si elle espérait intimement qu'il sorte, et qu'il vienne la voir. Or, elle le connaissait trop bien pour savoir que si il sortait, c'était pour se défouler un peu, et la briser, encore et encore, jusqu'à ce qu'elle s'éloigne, les larmes au bord des yeux, secouées par des hoquets de douleur. Cela finissait toujours ainsi. Les yeux rivées sur la vitre, sans regarder à l'intérieur, Dorothy ne vit pas Amiel et ce qui devait être sa fiancée débarquer devant la grande vitre, sans toutefois la voir. Ils commencèrent à s'embrasser, à rire. Elle était étrangement niaise, alors qu'Amiel se moquait complètement d'elle. Ce garçon mentait, Dorothy le comprit bien vite quand sa prétendue future femme n'y voyait que du feu. Découragée, et surtout blessée de les voir ainsi tous les deux, elle soupira et commença à s'éloigner. Mais une porte claqua et une main vint la retenir. Cette même main força bien trop fort son bras, et le lâcha instinctivement, avec un air de dégoût. Dorothy fulmina, prête à le frapper s'il ne voulait pas la laisser.
« Que fais-tu ici ?  »
Un goût amer s'infiltra dans sa bouche, et c'est après quelques secondes seulement qu'elle comprit que c'était du sang. Il n'était pas rare pour elle de se mordre l'intérieur de sa joue pour faire taire certains instincts un peu ... bestiaux. Eviter de frapper Whitehill était la bonne solution, d'après elle.
« J-je me pr-promenais.  »
Il esquissa un sourire en la voyant essayer de parler avec assurance, ce qu'elle n'arriva tout bonnement pas à faire. Dorothy se sentait étrangement mal, et elle sut : la réplique cinglante allait arriver. Elle le savait, elle le sentait. Ces instants étaient ancrés en elle, inscrits à même sa peau au fer rouge.
« C'est cela oui. Alors, la petite dévergondée, on espionne les grandes personnes ?  »
Il sembla sourire un peu plus. Décidément, il était clément aujourd'hui. La réplique était bonne enfant et ne lui avait pas fait mal. Il avait déjà fait tellement pire, autrefois.
« Tu a-as beau ê-être u-une obsess-ssion p-pour ta p-pucelle en cha-chaleur, t-tu ne m'in-intéresses p-pas.  »
Elle mit le coeur à l'ouvrage, cette fois, pour parler d'une traite, mais elle n'y arriva pas. Son regard l'empêchait toute tentative de rébellion. Et elle le détestait pour ça, et ce petite sourire qui lui montrer clairement qu'il n'en avait cure ne fit qu'augmenter ce sentiment d'impuissance. Une rage monstre parcourra son corps, et lui donna un courage inattendu auquel elle ne s'attendait pas. Après l'avoir fusillé du regard, elle fit volte-face et s'éloigna, tout en entendant le ricanement moqueur de sa fiancée, un rire jaune qui signifiait qu'elle avait tout entendu. De toute façon, Dorothy s'était déjà bien assez humiliée pour aujourd'hui. Peut-être trop. D'un pas lourd, peu sûre d'elle, elle prit le chemin de chez elle. Plus le chemin se déroulait entre eux, plus elle avait dû mal à respirer. Dorothy sut alors qu'il fallait mettre un terme à tout cela. Le recroiser était complètement digne d'une masochiste. Ce qu'elle n'était pas. Elle ne voulait pas le revoir.

✤ ✤ ✤


Dorothy passa ses yeux sur la lettre d'un air lointain. Sa soeur souhaitait se faire pardonner, soit. C'était un fait qu'il serait bon de relever. Mais après tous ses mois à tenter de respirer malgré l'effort et les blessures que provoquait sa belle-famille, le pardon n'était plus dans ses cordes. Subir, laisser, oublier. Lâche. Laureline Dorothy Rivendell s'était avouée enfin son plus grand défaut : elle était horriblement lâche, et le courage qui l'avait touché à sa pseudo-rupture avec le garçon était en train de s'amenuiser considérablement, ce qui n'était pas bon pour elle, vraiment pas. Le coeur lourd, elle se releva de sa chaise en bois un peu branlante et sortit de sa chambre. Devant elle se déroula un immense couloir qui était à lui seul plus grand que sa chambre dans la maison de sa figure maternelle. Ses chaussures foulèrent le sol, avant qu'elle ne passe son corps dans une petite chambre. Un toussotement s'échappa de ses lèvres et un grognement retentit. Laura était réveillée. Dorothy se glissa dans son lit avec la rousse, sa demi-soeur. Elle n'aurait pas dû quitter sa chambre comme ça, elle n'aurait pas dû venir ici, mais les coups importaient peu. Elle avait besoin d'un peu de réconfort, et sa demi-soeur se trouva être particulièrement douée. Laureline se laissa tomber au creux de ses bras, étouffant un sanglot dans l'oreiller. Laura caressa doucement ses cheveux, comprenant rapidement la cause de son malheur. Sa soeur -Hildr- avait disparu pour vivre son idylle, laissant sa petite soeur seule face au monde. Heureusement, Laura était là. Celle-ci ne partageait pas son sang, mais elle possédait le même nom de famille, et elles se complétaient tellement que ce détail semblait bien minuscule face à l'amour qu'elles se portaient. Deux piliers dans un monde en ruine. Après quelques dizaines de minutes à sangloter, Dorothy trouva le sommeil, Laura un peu après elle. Et c'est quand sa joue frappa le sol froid qu'elle se réveilla. Laureline cligna plusieurs fois des yeux, sous la lumière aveuglante qui l'assiégeait. Après quelque secondes, elle réussit à discerner la silhouette cadavérique de sa belle-mère, lui assignant une autre gifle, plus brutale.
« Ne t'avais-je pas dit que si je te trouvais encore dans le lit de ma fille, je m'occuperais personnellement de t'arracher les jambes pour t'empêcher de marcher, Dorothy ?  »
Elle susurra ses paroles sans une once de haine, d'un ton morne et las, comme si il était tout à fait normal de dire cela. Dorothy déglutit et se redressa, s'adossant au mur le plus proche, sa bouche emplie de sang. Laura était recroquevillée dans un coin, apeurée. Heureusement, sa belle-mère ne l'avait pas touché. Une chance, pensa Dorothy. Se relevant en titubant, sa belle-mère en rajouta une dernière couche avant de murmurer d'un air rêveur.
« Préparez-vous, nous allons assister au mariage de mon cousin. Une chance dans ce monde de fou.
- Bien, mère. »
Laura parla quand Dorothy se contenta d'hocher la tête, sortant de la chambre en titubant, un peu sonnée. Décidément, elle détestait l'été.

Récapitulons, petite je voulais devenir Dieu. Très vite, je compris que c’était trop demander et je mis un peu d’eau bénite dans mon vin de messe : je serais Jésus. J’eus rapidement conscience de mon excès d’ambition et acceptai de « faire » martyre quand je serais grande. Adulte, je me résolus à être moins mégalomane et à travailler comme interprète dans une société japonaise. Hélas, c’était trop bien pour moi et je dus descendre un échelon pour devenir comptable. Mais il n’y avait pas de frein à ma foudroyante chute sociale. Je fus mutée au poste de rien du tout. Malheureusement –j’aurais dû m'en douter- rien du tout, c’était encore trop bien pour moi. Et ce fus alors que je reçus mon affectation ultime : nettoyeuse de chiottes. - Amélie Nothomb.
Ce que je pense de la révolte des Jours Sombres : La question posée sur papier l'intrigua ... Elle haussa un sourcil, et tenta de répondre du mieux qu'elle put. J-je p-pense que la révolte n-n'était p-pas la b-bonne ch-chose à f-faire. On s-se déchire, on s-se f-fait d-du m-mal, on s-se b-brise pour r-rien. Et a-après ... Ils n-nous b-brisent p-pour r-rien. P-pour n-nous faire p-payer. Il ass-ssassine les enfants et v-violent les f-femmes, ils d-détruisent tout. N-nous leur a-avons f-facilité le travail ... On aurait d-dû r-rester gentil. L-le C-capitole aurait é-été clément, j-j'en s-suis p-persuadée.
Ce que je pense de notre époque, de Panem et du Capitole: I-il f-faut laisser c-courir. J-je n-ne v-veux pas v-vivre une rébellion ...J-je s-sais qu-que c-certains m-meurent d-de faim ... mais i-ils s-sont faibles. L-le Capitole les écrasera s-sans remord ... Et n-nous aussi n-nous paieront ... J-je p-pense qu'on a a-assez souffert ... A-avec l'annonce d-des h-hungers g-games, j-j'ai p-peur ... J-je sais qu-qu'on n-ne vit p-pas dans un m-monde j-juste, que s-seuls une poignée v-vit b-bien ... mais b-beaucoup trop de p-personnes périraient et ç-ça p-personne ne v-veut le comprendre ...
Ce que je pense des Hunger Games: C-c'est b-barbare, m-mais digne d-du C-capitole ... On v-va devoir s-survivre à ça à c-cause de quelques révolutionnaires ... j-j'ai p-peur ... parce que s-si je d-devais aller aux jeux ... j-je n-ne survivrais p-pas ... V-vous p-pensez vous qu'ils a-annuleront les j-jeux si on d-devenait d-docile ? J-je veux dire ... Si les stupides révolutionnaires qui c-croient pouvoir changer le m-monde rangeaient l-les a-armes ?

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